Actuellement, le laboratoire Arc’Antique accueille en co-encadrement avec l’Université de Neuchâtel une étudiante en thèse qui étudie l’utilisation des gels couplés à des micro-organismes ou des composés provenant de micro-organismes pour nettoyer les métaux historiques : argent ou cuivreux terni, ferreux rouillés. Le développement de ces nouveaux traitements s’inscrit dans la démarche des « green methods » du projet Helix. La validation de ces traitements nécessite de pouvoir évaluer la présence résiduelle des gels à la surface métallique. Les objectifs de ce stage sont de valider un protocole de détection des gels par des techniques d’imagerie telles que l’UV ou XRF en intégrant des marqueurs fluorescents dans les gels. L’étudiant(e) devra tester différents marqueurs en fonction du gel, de la surface métallique ainsi que des agents actifs utilisés afin de déterminer les limites de détection et la compatibilité. La mise au point du protocole s’effectuera sur des coupons métalliques et sera validé sur de vrais objets historiques métalliques.
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